Category Archives: Loisirs

Pilotes de chasse pour une journée

C’est en cherchant au hasard sur le web les activités les plus décalées que nous sommes tombés sur celle-là : devenir pilote de chasse le temps d’une journée, et participer à un combat aérien… à bord d’un véritable biplan ! Mon beau-frère et moi ne pouvions pas passer à côté d’une telle occasion. Nous avons donc lâché nos simulateurs pc pour passer au niveau supérieur. Récit d’une expérience hors du commun. C’est apparemment unique en Europe, et ça se passe du côté de Bordeaux. Mon beau-frère et moi avons débarqué sur le site vers 9h30, où nous avons été reçus par Stéphane, dit « Gégé » : un authentique pilote, et un ancien officier de l’Armée de l’Air. Le contact est aussitôt bien passé. Ambiance décontractée. Nous avons pris le petit déj’ ensemble, puis avons revêtu nos combinaisons de pilote. Puis nous avons suivi un briefing exposant les bases de l’engagement dans les airs. Explications professionnelles dans une ambiance détendue. Nous étions installés dans un grand canapé ; pour un peu, on se serait cru à la maison. Mine de rien, le temps passe vite. A la fin du briefing, il était déjà midi. Nous avons donc pris le déjeuner avec les pilotes (le deuxième était arrivé en cours de brief), puis avons enfin rejoint nos appareils : deux biplans avec des visages de requin dessinés sur l’avant de l’appareil. Je ne vous raconte pas le stress quand je me suis installé à l’avant du cockpit ! Je respire un grand coup. Je n’ai jusque-là jamais accompli un vol sur un avion de cette taille, et j’avoue que ça me fait peur. Je m’attends à être secoué en tous sens. Mais la chaussette à vent est en berne, et l’appareil file comme un oiseau dans le ciel. C’est du pur bonheur ! Le panneau du cockpit permet d’observer tout autour de moi. Je fais signe à mon beau-frère dans l’autre appareil. Nous évoluons en patrouille serrée et apprenons à maîtriser les commandes. Ce qui arrive rapidement, puisque l’appareil est plus simple à conduire qu’une voiture. Stéphane, à l’arrière, me signale qu’on peut commencer le combat. Je prends donc les commandes de l’appareil et me place derrière mon adversaire. Je sens une montée d’adrénaline quand j’essaie d’aligner celui-ci dans le viseur. Je presse la gâchette et envoie une rafale. Le bruit de la mitrailleuse résonne dans le cockpit. Raté. Il va me falloir plusieurs minutes avant de faire mouche et voir de la fumée s’échapper de l’appareil touché. Car effectivement, le réalisme va jusque-là : les lasers déclenchent des fumigènes. Prodigieux. Je respire un grand coup et tente de me détendre. Il est temps d’inverser les rôles. Mon beau-frère passe derrière moi et s’apprête à me canarder. C’est parti pour une manoeuvre d’évitement ! Je crois que vous l’aurez compris : j’ai adoré cette expérience et la recommande à tous. Si vous avez autour de vous un passionné d’aviation, vous savez maintenant quoi lui offrir pour son prochain anniversaire ! Superbe expérience, que je recommande. Pour en savoir plus sur cette expérience de pilote de chasse, suivez le lien.

Maverick pour 30 minutes

J’en rêvais depuis des années, sans jamais oser me lancer. C’est finalement ma famille qui m’a offert ce rêve : un vol en avion de chasse. Que j’ai effectué cette semaine. Retour sur une escapade exceptionnelle qui restera longtemps gravée dans ma mémoire. Je suis arrivé aux environs de 9h30 sur le tarmac où j’ai été accueilli par le pilote. Un ancien de la Patrouille de France, pas moins. Les autres sont arrivés presque en même temps : car oui, nous étions au nombre de trois à tenter l’expérience ce matin-là. Nous avons évidemment suivi l’inévitable briefing nous décrivant le plan de vol, les caractéristiques de notre avion (un Fouga, ancien avion de la Patrouille), le fonctionnement du siège éjectable… Enfin, notre instructeur a tiré au sort notre ordre de vol : manque de chance, je tombais le dernier ! Je me suis donc installé derrière les barrières de sécurité, aux abords du tarmac, pour voir les autres participants se lancer. Chaque vol dure 30 minutes et s’enchaîne rapidement. Mais lorsque vous attendez votre tour, je peux vous dire que l’attente est longue. Quand je suis enfin parti endosser ma combinaison de vol, j’étais déjà en nage en raison du stress. J’ai finalement approché l’avion, mon casque sous le bras. Bon, la peine de se faire une image à la Top Gun. Le Fouga n’est pas aussi impressionnant qu’un F-16. Et il commence sérieusement à dater, niveau design (sa création remonte au début des années 1950, pour rappel). Seulement, je savais que c’était un appareil d’entraînement, particulièrement maniable et offrant de belles sensations. L’estomac noué, je me suis hissé à l’intérieur et l’équipe m’a sanglé sur mon siège, en me fournissant les inévitables dernières suggestions. Finalement, la verrière a glissé sur ses rails. Ca y est, on y était. L’avion s’est dirigé jusqu’au bout de la piste de décollage et s’est mis face à elle. J’allais accomplir mon rêve ! Le décollage s’est effectué en toute tranquillité. Nous avons commencé par une étape de reconnaissance assez tranquille. Niveau sensation, le vol était plus tranquille que sur un Cessna, moins cahotique. La verrière m’offrait une vue féerique sur la terre en dessous. Un pur instant Kodak. Puis, après une dizaine de minutes, l’appareil a continué avec un vol à basse altitude. Là, ça commençait à devenir franchement sympathique. J’avais l’impression qu’on effleurait presque le sol par moments. Alors, enfin, la dernière phase est arrivée : celle des acrobaties. WTF, comme disent les jeunes. Je me préparais depuis des mois, mais n’étais pourtant pas préparé à ça. Le premier looping m’a écrasé contre mon siège d’un seul coup. C’était tellement rapide que je n’ai pas eu le temps de crier. Puis une nouvelle figure a directement débuté après celle-ci. Je commençais déjà à haleter. Après quelques tonneaux et quelques vrilles, j’ai commencé à me sentir « partir » et me suis contracté autant que possible. Le risque est en effet de subir un blackout, en raison d’un cerveau insuffisamment alimenté en oxygène. Une expérience ahurissante, s’il en est ! Je ne me suis pas évanoui, mais j’ai tout de même utilisé le fameux petit sac en papier kraft qui est livré à chaque vol. Ca dépassait de loin ce que j’imaginais. Une expérience fabuleuse ! Suivez le lien pour en savoir plus sur cette expérience. Le site est Vol en avion de chasse.

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Handicap : les agences Marmara et NF distribuent les produits d’Adaptours

Depuis le 26 janvier, TUI France distribue la brochure Adaptours dans son réseau d’agences Nouvelles Frontières et Marmara.

Spécialisé dans la conception de séjours adaptés aux personnes à mobilité réduite, Adaptours dispose d’une offre de voyages sur mesure dans 20 destinations.

En février 2014, ce voyagiste spécialisé a ouvert sa propre maison d’hôtes dans le Sud de l’Espagne : la Casadadaptours.

Pour accompagner ce lancement, TUI France et Présence Assistance ont mis au point un contrat d’assurances voyages spécifique. Les personnes à mobilité réduite et les personnes souffrant de maladies chroniques non stabilisées « seront couvertes tant en Assurance Annulation qu’en Assistance-Rapatriement » indique un communiqué de presse.

Quel voyageur low cost êtes-vous ? (un vol A/R pour New York à gagner !)

Je suis toujours à l’affût de bons plans pour partir en voyage.

Il y a quelques années, nous voyagions en mode « famille nombreuse » avec quatre enfants et cette recherche d’un prix bas était indispensable pour pouvoir partir. Lorsque nous sommes partis faire un tour du monde en famille, le mode « low cost », sac à dos et guesthouse était notre norme pour que notre budget ne fonde pas trop vite au soleil.

Maintenant, certains de nos enfants ont grandi et se débrouillent par leurs propres moyens pour voyager. Et même si l’on s’accorde de temps en temps des formules plus luxueuses, je reste toujours en veille pour trouver les meilleurs prix. L’objectif, maintenant, est de partir plus souvent, ou plus loin.

Il semble que cette façon « low cost » de consommer soit devenu la norme, même pour les plus chanceux qui ont les moyens de faire autrement. Le site a lancé un sondage sur le sujet et je suis curieuse d’en connaître les résultats.

J’y ai participé bien-sûr et si comme moi vous voulez répondre aux quelques questions du sondage, il suffit de cliquer sur ce lien :

Attention, il ne reste que 5 jours pour participer (jusqu’au 12 décembre).

La bonne nouvelle, c’est qu’en répondant au sondage, on peut gagner un billet aller-retour pour New York !

Alors, on croise les doigts et bonne chance à tous !

Je compte sur vous pour venir me mettre un petit mot si vous gagnez 🙂 !

Cette semaine, j’ai volé en apesanteur

Cette semaine, j’ai voyagé à Boston. Cela faisait des mois que j’attendais ce voyage. Non pour le voyage en lui-même (je suis déjà allé aux Etats-Unis à plusieurs reprises), mais pour l’activité extraordinaire qui m’attendait là-bas : un vol en apesanteur à 25 000 pieds ! Chronique de cette escapade ahurissante. L’aventure avait lieu à bord d’un avion transformé pour exécuter des vols paraboliques : le G Force One. Ce Boeing apendant longtemps été consacré à la formation des professionnels, mais il est désormais accessible aux civils. Nous étions un groupe de 25 personnes à participer à l’aventure. Après un briefing nous présentant les consignes de sécurité, nous avons revêtu notre combinaison d’astronaute et nous sommes dirigés vers le tarmac et l’appareil qui nous attendait. La première demi-heure a commencé comme un vol habituel. Nous étions harnachés sur notre siège et, en dehors de notre uniforme, on aurait pu penser qu’il s’agissait d’un vol courant. L’appareil rejoignit lentement l’altitude nécessaire pour effectuer ses manoeuvres. L’expérience est graduelle. Lors de la première parabole, on teste la gravité sur Mars : un tiers de la gravité terrestre. Lors de la seconde, on teste cette fois la pesanteur lunaire : un sixième de celle que nous connaissons ! Après ça… on goûte la gravité zéro pour les treize paraboles suivantes.
Dans la cabine matelassée, on a l’impression d’être dans une fête foraine : il y règne une sacrée agitation. Quelques-uns s’agrippent aux barres, d’autres sautent d’un mur à l’autre, un couple se lance des peluches. Des confiseries volent aux alentours, que certains tentent d’avaler au passage. Ca se presse, ça beugle, ça s’esclaffe. On sent une sorte de bouillonnement chez tout le monde. C’est que chaque parabole dure seulement 22 secondes, il faut donc en profiter au maximum. Entre chaque parabole, on récupère, on tâche de retrouver son calme, on pense à ce qu’on va faire, on tente d’orchestrer une activité à plusieurs, de se préparer pour une photo à deux. Là non plus, il n’y a pas une minute à perdre : nous n’avons que quelques minutes avant que commence la prochaine parabole. Le vol a duré 110 minutes. A raison de 15 paraboles de 22 secondes, nous sommes restés à peine 5 minutes et demi en gravité zéro. Pourtant, je n’échangerais ces 5 minutes pour rien au monde. C’est véritablement une expérience unique en son genre, à vivre au moins une fois. Si vous vous laissez tenter par l’aventure, voilà un site qui vous sera utile pour faire vous aussi votre vol en apesanteur, si cela vous branche bien sur.

Pour mieux conduire

Apprendre à mieux conduire est important pour l’amélioration de la sécurité routière, mais aussi pour dépenser moins dans son véhicule. Petit rappel – grâce à un stage effectué récemment de quelques trucs et astuces qui fonctionnent plutôt bien sur la voiture. Sur toutes les autos, une loi physique se fait : la force cinétique. Il s’agit de l’énergie du véhicule quand elle est en évolution. Pour donner cette force à l’auto, un certain volume d’essence doit être employé. Alors que l’on freine, cette intensité est changée en chaleur, ainsi complètement et parfaitement diffractée dans l’air. En conséquence il importe de restreindre au maximum les décélérations, et d’opter pour de rétrograder. En plus de ralentir le véhicule, cela transforme la force cinétique en puissance pour la batterie. Une autre chose qu’il est également habile de posséder, est qu’une conduite dynamique procure une hausse de la consommation de quarante pour cent. Ainsi, il convient de piloter de façon fluide et lisse, ainsi en prévoyant au maximum les freinages, aussi en évitant les accélérations soudaines et bien souvent vaines. Il est important aussi d’adapter sa vélocité. Une vitesse excessive produit une surconsommation appréciable. Grande route, en plus de prolonger fondamentalement la sécurité, le simple action de conduire à cent dix au lieu de 130 produit une épargne environ de 20 pour cent. Un grand nombre d’automobiles sont optimisés pour fonctionner à des régimes moyens, correspondant de manière égale à des vitesses aux environs de 110. Sur départementale, rouler autour quatre-vingt kilomètre heures occasionne une baisse de consommation d’approximativement 13%. Les pneumatiques ont aussi un rôle important. Le premier résultat d’un pneu mal gonflé est principalement le danger. En effet un pneumatique sous enflé aura tendance à chauffer, pouvant provoquer jusqu’à l’éclatement. La tenue est tout autant impactée. La seconde conséquence est la hausse de la consommation d’essence. Peu nombreux le savent, mais une roue est fondamentalement poreuse. Le pneu perd aussi et logiquement de la pression. Cet épiphénomène est renforcé si la roue n’a pas de bouchons dessus. Aussi, il est nécessaire de valider 2 fois par semestre cette pression pneumatique. La pression conseillée par le constructeur du véhicule est habituellement montrée sur un panneau, posé sur le milieu de la portière de l’automobile. Il est également intéressant de recommander le cruise control. Il est muni sur de plus en plus de automobiles. Le régulateur permet de garder votre permis de conduire, et il peut vous aider à optimiser le roulage de votre auto.

Technique pour sensations fortes

J’ai fais une formation aviation pour en savoir un peu plus sur le fonctionnement d’un avion de chasse, et particulièrement vivre un baptême en avion. Cette préparation a été fait pour pouvoir embarquer sur le MiG à la limite de l’espace. J’ai toujours espéré effectuer un baptême unique au monde, donc quand cette opportunité s’est offerte, j’ai naturellement accepté, en dépit du prix. Outre l’expérience qui est fantastique, j’ai bien aimé également en savoir plus sur le fonctionnement de l’avion à réaction, notamment sur les moteurs. Dès grandes vitesses- aux environs des 730 km à l’heure -, l’efficacité des moteurs à pistons traditionnels décroît très vite. Afin d’arriver et dépasser la vélocité du son, on s’est adressé aux turbines à réaction, dont le fondement est celui de la fusée. Ne comprenant plus aucun de pistons ni de bielles en battement alternatif, de tels turbines, ainsi mécaniquement schématisés, permettent d’accentuer beaucoup la poussée que fabrique la violente expulsion des gaz consumés et, partant, la vitesse; les oscillations se trouvent de surcroît chassées. Il en existe divers sortes. Les turbo réacteurs sont agencés d’un compresseur, d’une petite chambre de combustion (où l’air aspiré par le propulseur brûle le pétrole et d’une turbine à gaz. L’hélice continue d’être usitée dans le turbo propulseur, pareil qu’au turboréacteur, mais dans lequel le moteur gère, en plus du compresseur, une hélice propulsive. Dans ce cas, la conséquence donnée par les gaz rejetés ne cause qu’un complément de propulsion à la poussée que donne l’hélice. Le statoréacteur ne contient aucun élément mobile. Le stato réacteur ne détient ainsi pas de compacteur. Avec cette carence, le trafic d’air est proportionnel à la célérité de vol et, le débit, et en conséquence la sortie, sont à zéro d’où la nécessité de fournir en conséquence l’avion de chasse d’un compacteur ajouté pour le take-off et l’atterrissage, ce qui a entrainé à la formule du turbostatoréacteur. Un vol en aéronef est une opportunité unique à dépeindre à vos proches, qui pourront profiter de vos vidéos prises pendant ce baptême de l’air unique au monde. Pour tous ceux que cela intéresse, allez sur baptême en avion de chasse.