Apprendre à mieux conduire est important pour l’amélioration de la sécurité routière, mais aussi pour dépenser moins dans son véhicule. Petit rappel – grâce à un stage effectué récemment de quelques trucs et astuces qui fonctionnent plutôt bien sur la voiture. Sur toutes les autos, une loi physique se fait : la force cinétique. Il s’agit de l’énergie du véhicule quand elle est en évolution. Pour donner cette force à l’auto, un certain volume d’essence doit être employé. Alors que l’on freine, cette intensité est changée en chaleur, ainsi complètement et parfaitement diffractée dans l’air. En conséquence il importe de restreindre au maximum les décélérations, et d’opter pour de rétrograder. En plus de ralentir le véhicule, cela transforme la force cinétique en puissance pour la batterie. Une autre chose qu’il est également habile de posséder, est qu’une conduite dynamique procure une hausse de la consommation de quarante pour cent. Ainsi, il convient de piloter de façon fluide et lisse, ainsi en prévoyant au maximum les freinages, aussi en évitant les accélérations soudaines et bien souvent vaines. Il est important aussi d’adapter sa vélocité. Une vitesse excessive produit une surconsommation appréciable. Grande route, en plus de prolonger fondamentalement la sécurité, le simple action de conduire à cent dix au lieu de 130 produit une épargne environ de 20 pour cent. Un grand nombre d’automobiles sont optimisés pour fonctionner à des régimes moyens, correspondant de manière égale à des vitesses aux environs de 110. Sur départementale, rouler autour quatre-vingt kilomètre heures occasionne une baisse de consommation d’approximativement 13%. Les pneumatiques ont aussi un rôle important. Le premier résultat d’un pneu mal gonflé est principalement le danger. En effet un pneumatique sous enflé aura tendance à chauffer, pouvant provoquer jusqu’à l’éclatement. La tenue est tout autant impactée. La seconde conséquence est la hausse de la consommation d’essence. Peu nombreux le savent, mais une roue est fondamentalement poreuse. Le pneu perd aussi et logiquement de la pression. Cet épiphénomène est renforcé si la roue n’a pas de bouchons dessus. Aussi, il est nécessaire de valider 2 fois par semestre cette pression pneumatique. La pression conseillée par le constructeur du véhicule est habituellement montrée sur un panneau, posé sur le milieu de la portière de l’automobile. Il est également intéressant de recommander le cruise control. Il est muni sur de plus en plus de automobiles. Le régulateur permet de garder votre permis de conduire, et il peut vous aider à optimiser le roulage de votre auto.
Sur la fidélité…
Aujourd’hui, la très grande majorité des marques disposent de programme de fidélité. Certains dates de quelques années et ressemblent exactement à ce qu’ils étaient au premier jour. D’autres au contraire se sont transformés radicalement avec le temps. Un élément stratégique au cœur de votre programme de fidélité est bien sur votre client, qui lui aussi, change avec le temps. Alors comment et quand savoir s’il faut changer et adapter son programme de fidélité ? La première clef est de suivre et connaître ses clients car ce sont surtout eux qui guident la marche. L’erreur est de croire que le programme mis en place fonctionne seul et satisfera les clients. Réalisez une enquête de satisfaction, et utilisez également les données de profile de personnes afin de matcher les réponses avec un profil de client. Correspond-il à votre client type ou souhaité ? L’une des clefs de succès d’un programme de fidélité est de comprendre que votre programme a besoin d’attention continue et d’évaluation constante. Il est établit qu’il est plus facile et moins couteux de conserver un client que d’aller en chercher un nouveau, c’est pourquoi ces programmes sont des outils qui peuvent être hautement stratégique en fonction des secteurs ou des biens de consommation concernés. Au cœur du programme de fidélité : la relation que vous entretenez avec vos clients. Autre point important : les clients vous donnent leur avis, mais regardez également les chiffres ! Car ceux-ci viendront confirmer ou infirmer ce que vous disent vos clients. Parfois, la parole est contraire aux faits. Les taux de conversion sont-ils forts ? Le nombre d’enrôlés dans le programme est il en croissance constante ? Les dotations sont elles utilisées ? le programme de fidélité est il en ligne avec le retour sur investissement projeté ? Est-ce que les nouveaux membres se confirment en acheteurs récurrents ? Autant de données à valider impérativement pour s’assurer que le programme fonctionne, mais aussi pour analyser le besoin de changement ou non. Le changement est bon. De nombreux programmes de fidélité ont rencontré un franc succès car ils se sont adaptés et ne ressemblent aujourd’hui plus du tout à leur début. Il est capital de répondre aux besoins changeants des consommateurs, mais aussi des programmes de la concurrence et de la dynamique du marché. Gardez une certaine fraîcheur est stratégique. Celle-ci est d’autant plus stratégique que l’entreprise évoluera également avec le temps. Vos produits montent en gamme ? Adaptez votre programme. Vos services s’internationalisent? Adaptez votre programme. Vous rationalisez vos marques? Adaptez votre programme… Les clients ne vous tiendront pas rigueur de ces changements, bien au contraire. Ils percevront votre dynamique et leur implication dans votre évolution. La fidélité est un long parcours, et l’important n’est pas tant la destination, mais le voyage lui-même. Il est donc important de conserver une ouverture au changement et d’être prêt à modifier le programme pour insuffler du neuf ou tout simplement une réalité changeante. La clef est donc de suivre ses clients, de les comprendre grâce à des enquêtes, et de valider ces résultats dans les faits chiffrés. La communication joue bien évidemment un rôle stratégique tout au long de la vie de votre programme de fidélité.
En mode détente
Conduire à Daytona
En Europe, nous avons la Formule 1. Aux Etats-Unis, ils ont Daytona. J’ai eu la chance de me rendre sur place notamment dans le cadre d’un séminaire aux USA, et j’ai tout bonnement adoré. es courses de Nascar sont les plus populaires des États-Unis. En 1947, lorsque les courses reprirent après la guerre, le mécanicien Bill France de Daytona Beach organisa l’Association nationale des courses de voitures de série (National Association of Stock Car Auto Racing, soit Nascar), puis en 1959, il ouvrit le circuit international de Daytona, sur un domaine de 195 hectares, à l’extrémité sud de la plage éponyme. La première course, Daytona 500, eut lieu en février de la même année, avec un parc de 59 voitures, une bourse de 68 dollars et plus de 41 000 spectateurs. Aujourd’hui, c’est l’une des courses de stock-car les plus prestigieuses d’Amérique, qui ouvre la saison de Nascar, avec 200 000 spectateurs, 30 millions de téléspectateurs, et une cagnotte totale qui dépasse les 18 millions de dollars. Les deux semaines qui précèdent l’événement, appelées les « semaines de la vitesse » (Speed Weeks), attirent des milliers de personnes pour une demi-douzaine de courses, comprenant l’historique Rolex 24 pour la course des voitures de sport de Daytona et la qualification de la Daytona 500. Daytona est ainsi devenu un lieu culte qui concerne presque tous les domaines du sport automobile et accueille huit week-ends de courses par an. Au début du mois de mars, des motards se rassemblent pour la semaine de la moto, un festival de 10 jours qui se termine par la Daytona 200, la course de deux roues la plus importante des États-Unis. Fin décembre, c’est la folie du kart qui envahit Daytona. En 1996, la Daytona 500 a débuté sur le circuit international de Daytona, avec des simulateurs de mouvements, des films IMAX et des visites en coulisse. Pour vivre le grand frisson, participez à l’expérience de conduite de Richard Petty, sept fois vainqueur de la Daytona 500. Les mordus pourront alors se glisser derrière le volant ou à côté d’un pilote sur le prestigieux circuit. C’était une expérience incroyable que de pouvoir se mettre au volant de l’un de ces voitures. Je vous laisse le contact de l’Agence Séminaire aux USA qui nous a organisé ce séjour magnifique (suivez le lien pour leur site).
Des raisins pour se faire du bien
Je fais un aparté santé et nutrition ici, pour vous pousser à manger des raisins, et notamment du Muscat et Muscadine. On sait que ces deux variétés sont excellentes pour la santé, et notamment pour réduire les risques d’accident cardiaques. Le muscat tout d’abord. Ces fruits pourraient bien être la plus ancienne variété de raisin cultivée dans le monde. Les raisins muscats sont très probablement nés en Grèce, puis arrivèrent en France avec les Romains. Pendant le règne de Charlemagne, le muscat était exporté à partir du port de Frontignan. Le nom du cépage pourrait être relié au port islamique de Muscat, ou plus simplement faire référence a l’odeur musquée qui caractérise ces raisins. Il existe plus de 200 variétés de muscat ! Différents types sont cultivés dans le monde, pour la consommation et pour la production de vin : les fruits, avec ou sans pépins, sont blancs, noirs, verts, rouges ou ambrés, et ont une peau plus ou moins fine. Certains sont cultivés en serre, d’autres mûrissent au soleil. Bien que la majorité des raisins de table soient cultivés pour leur commodité plutôt que pour leur saveur, les variétés de muscat sont toujours reconnaissables, quelle que soit la souche ou la provenance, à condition que les raisins soient récoltés à maturité et dégustés immédiatement. Quant à la muscadine, si vous ne savez pas ce que c’est, voici un petit topo sur cet excellent fruit. Lorsque les navigateurs européens explorèrent le littoral de la Caroline du Nord, ils remarquèrent les nombreux raisins qui y poussaient. Vitis rotundifolia est une espèce très différente du raisin européen ; elle est plus grande et plus robuste, avec une peau plus épaisse : elle adore la chaleur et l’humidité. Autrefois partie intégrante du régime alimentaire des indiens d’Amérique qui, selon certains, faisaient tomber les raisins des vignes à l’aide de bâtons plutôt que de les récolter à la main, ces raisins à la saveur intense et musquée sont bons tels quels. Également connus sous le nom de scuppernong, les raisins muscadines ont été utilisés pour faire du vin dès le 10è siècle, avec toutefois des résultats fades et sucrés. R Ces fruits mauves, couleur de bronze ou d’un doré pâle, sont souvent transformés en sauces, confitures et conserves, mais les chefs les utilisent également dans les soupes et les assaisonnements, ou comme garniture pour les viandes et le poisson. Les variétés de muscadine sont appelées renard du sud et les produits commercialisés rentrent souvent avec les visiteurs du Sud en tant que souvenirs. Mangez ces types de raisins pour vous épargner des soucis cardiaques. Source : cours de cuisine.
Un peu de détente
Reconnaissance de l’impuissance politique
Le gouvernement se reprend à réfléchir à un séminaire pour essayer d’endiguer le réel problème de la France : la montée du chômage. L’autre problème est que plus personne ne croit en la capacité du gouvernement et de François Hollande pour redresser le pays. E, témoigne ce camouflet puisque ce jour, François Hollande a semé le trouble en laissant entendre qu’il ne parviendrait pas à inverser la courbe du chômage dès la fin 2013, avant de réaffirmer peu après cet engagement. Ce n’est donc pas gagné… Alors que le chef de l’État a fait de l’inversion de la courbe du chômage à la fin de l’année un marqueur de sa politique, la parole présidentielle était d’autant plus attendue que certains dans la classe politique doutent qu’il puisse y parvenir durablement. «La bataille» contre le chômage «se fera mois par mois» et «prendra tout le temps qui est nécessaire», a-t-il déclaré lors d’un déplacement à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Ce propos, quelque peu ambigu, a été interprété comme une manière de repousser l’échéance qu’il avait lui-même fixée. Mais, interrogé peu après par la presse, François Hollande a réaffirmé son objectif d’inversion de la courbe du chômage d’ici à la fin de l’année, en répondant «oui». Mais la réalité du chômage est dramatique en France car aucun des politiques n’est armé pour se battre contre la globalisation, pour les entreprises, et pour sauver l’emploi. Tout simplement car aucun d’eux ne sait comment fonctionne une entreprise. L’Europe pour le politique est un peu une destination de vacances, au pire une excuse pour l’incompétence. Selon lui, François Hollande «a dit que la bataille contre le chômage est une bataille de tout le quinquennat, il ne s’agit pas simplement d’inverser la courbe». «Quand François Hollande s’exprime, ça ne manque jamais de pédagogie, il a dit des choses extrêmement claires depuis plusieurs mois», a assuré Bernard Cazeneuve. Il est surtout temps que le mode d’emploi soit fournit au président avant que la France ne le mette au chômage ! A lire également sur Libération.
Technique pour sensations fortes
J’ai fais une formation aviation pour en savoir un peu plus sur le fonctionnement d’un avion de chasse, et particulièrement vivre un baptême en avion. Cette préparation a été fait pour pouvoir embarquer sur le MiG à la limite de l’espace. J’ai toujours espéré effectuer un baptême unique au monde, donc quand cette opportunité s’est offerte, j’ai naturellement accepté, en dépit du prix. Outre l’expérience qui est fantastique, j’ai bien aimé également en savoir plus sur le fonctionnement de l’avion à réaction, notamment sur les moteurs. Dès grandes vitesses- aux environs des 730 km à l’heure -, l’efficacité des moteurs à pistons traditionnels décroît très vite. Afin d’arriver et dépasser la vélocité du son, on s’est adressé aux turbines à réaction, dont le fondement est celui de la fusée. Ne comprenant plus aucun de pistons ni de bielles en battement alternatif, de tels turbines, ainsi mécaniquement schématisés, permettent d’accentuer beaucoup la poussée que fabrique la violente expulsion des gaz consumés et, partant, la vitesse; les oscillations se trouvent de surcroît chassées. Il en existe divers sortes. Les turbo réacteurs sont agencés d’un compresseur, d’une petite chambre de combustion (où l’air aspiré par le propulseur brûle le pétrole et d’une turbine à gaz. L’hélice continue d’être usitée dans le turbo propulseur, pareil qu’au turboréacteur, mais dans lequel le moteur gère, en plus du compresseur, une hélice propulsive. Dans ce cas, la conséquence donnée par les gaz rejetés ne cause qu’un complément de propulsion à la poussée que donne l’hélice. Le statoréacteur ne contient aucun élément mobile. Le stato réacteur ne détient ainsi pas de compacteur. Avec cette carence, le trafic d’air est proportionnel à la célérité de vol et, le débit, et en conséquence la sortie, sont à zéro d’où la nécessité de fournir en conséquence l’avion de chasse d’un compacteur ajouté pour le take-off et l’atterrissage, ce qui a entrainé à la formule du turbostatoréacteur. Un vol en aéronef est une opportunité unique à dépeindre à vos proches, qui pourront profiter de vos vidéos prises pendant ce baptême de l’air unique au monde. Pour tous ceux que cela intéresse, allez sur baptême en avion de chasse.
Mesure de la performance
Aujourd’hui, il faut performer. En tout. Et si l’on ne performe pas, et notamment au niveau commercial, alors on est bon à rien. Mais le problème reste comment mesurer cette performance. Et est-ce que cette mesure, méthode, outil, est juste. Je me suis penché sur la question car j’ai eu à réfléchir sur le thème lors de la rentrée au boulot. Je vous livre quelques réflexions, aidé par quelques spécialistes. L’analyse de la performance commerciale se conçoit sans doute, et a priori, en termes d’activité et de contrôle de résultats (chiffre d’affaires, marges, nouveaux clients, part de marche,. . .). L’apport de cette appréciation quantifiée de l’intermédiation marchande dévolue à la fonction est d’évidence indispensable. Mais cette approche n’en soulève pas moins l’objection, quant à sa pertinence, d’une corrélation qui n’est en rien affirmée entre ce qui manifeste globalement la performance de l’organisation, et la performance imputable à la seule fonction commerciale. Aussi bien semblera-t-il nécessaire d’introduire dans l’analyse les moyens spécifiquement mis en œuvre (frais d’études, de déplacement, de communication, de promotions..), et d’en valider l’efficacité, soit au regard d’objectifs préalablement assignés, soit à Faune d’une orthodoxie généralement admise. Cependant, cet audit de conformité des moyens d’une fonction commerciale isolée ne lève pas davantage l’interrogation diagnostique posée quant à sa participation à la compétitivité de l’organisation. Moins encore quant à son potentiel d’amélioration de la performance de l’entreprise, et son apport au développement de celle-ci. Le diagnostic se doit en effet, et prioritairement, d’analyser des actions et des comportements plus difficilement identifiables, non normalisés, mais conditions de performance, car agissant sur les structures et la gestion du système. Constat qui n’est pas sans ouvrir le champ d°analyse aux critères d’appréciation des modalités d’accès à une performance contributive, et notamment aux facteurs comportementaux. La question demeure donc entière de la qualité des attitudes, de l’utilisation des ressources de l’entreprise, et de l’intégration de la fonction au sein de l’organisation. Source : Challenge Commercial