Vueling et les handicapés

Sur un vol Barcelone-Paris, une adolescente de 18 ans, souffrant d’hypotonie et d’ostéoporose, a été contrainte de rester allongée sur les genoux de sa mère. La famille a décidé de porter plainte contre la société pour discrimination. «C’est inadmissible», dénonce Amarantha Bourgeois sur son compte Facebook. Le 14 juillet dernier, sa fille Lucy, souffrant d’hypotonie (perte du tonus musculaire) et d’ostéoporose (perte de la résistance des os), a dû voyager sur un vol Barcelone-Paris dans des conditions déplorables après que la compagnie Vueling lui a confisqué son fauteuil spécialisé. Très en colère, la mère de la jeune polyhandicapée a décidé de porter plainte contre la société low-cost espagnole. Pour fêter les 18 ans de Lucy, Amarantha Bourgeois avait décidé d’organiser un voyage d’une semaine à Barcelone. «Il m’a fallu plus de trois mois pour tout préparer. J’ai contacté la compagnie Vueling pour connaître les dimensions de leurs sièges et faire réaliser un équipement sur mesure par un orthoprothésiste. La motricité et la tonicité de la jeune fille, équivalentes à celles d’un nourrisson de 3 mois, l’obligent à voyager avec un siège spécialisé afin de la maintenir correctement assise. Le fauteuil m’a coûté près de 1200 euros», explique-t-elle au Parisien . Le 2 juillet, à Orly, lors du vol aller Paris-Barcelone, la jeune fille est prise en charge, accompagnée de sa mère et de sa jeune soeur âgée de 5 ans, par deux employés du service aux personnes à mobilité réduite. Les hôtesses l’emmènent dans l’avion mais se rendent compte que le fauteuil ne rentre pas à la place réservée pour Lucy. Le commandant de bord, informé de la situation, accepte que l’adolescente soit installée au premier rang et autorise même sa mère à s’asseoir auprès d’elle sans lui demander de payer un supplément. Le vol retour ne se passe malheureusement pas aussi bien.

L’informatique Quantique

« C’est du sérieux ! », s’enthousiasme Lieven Vandersypen, du laboratoire QuTech à l’université de Delft (Pays-Bas), en brandissant un gros disque de la taille d’un ¬33-tours. C’est une plaquette de silicium, fabriquée par Intel, qui ressemble à celle des microprocesseurs, gravée de milliards de transistors, qui dopent nos ¬ordinateurs et autres mobiles. Sauf qu’elle contient les premières briques de ce qui pourrait constituer le cœur d’une machine d’un nouveau genre : un ordinateur quantique. Ce concept, imaginé dans les années 1980, est longtemps resté une arlésienne, comparable à la fusion nucléaire dans le domaine de l’énergie. Autrement dit, une approche révolutionnaire, promettant de battre les meilleurs supercalculateurs actuels, mais faisant face à de sérieux obstacles pour sa réalisation concrète. Elle tire profit de la théorie quantique, qui décrit la matière au niveau atomique, et surtout de ses propriétés radicalement différentes de la physique classique. « La donne concernant l’informatique quantique est en train de changer, constate Leo Dicarlo, également à QuTech. Le moment devient plus excitant avec l’implication des industriels. » Ces derniers mois lui donnent raison. Les géants Google, IBM, Microsoft ou encore Intel ont annoncé plusieurs percées dans le domaine. Depuis le printemps, n’importe qui peut se connecter à un service d’IBM donnant ¬accès à un ordinateur quantique, doté de trois fois plus de composants que celui mis à disposition en 2016. Une version améliorée de cette ¬machine peut même être achetée pour ceux qui ne voudraient pas partager leurs calculs. « Même si cela reste de la R&D, nous avons progressé et avons confiance : dans la prochaine ¬décennie un ordinateur quantique universel sera développé, indique Xavier Vasques, directeur technique chez IBM France. L’ouverture de ce système permet d’explorer les collaborations et de créer un écosystème pour accélérer son adoption. ». Le « calcul » quantique utilise la mécanique quantique. Les phénomènes utiles sont l’intrication quantique et la superposition. Il est cependant nécessaire de prévoir les effets de la décohérence inhérente à la théorie de la réalité vue dans une mathématique ensembliste appliquée en dehors de l’échelle macroscopique1. Il n’existe pas — en janvier 2015 — d’algorithmique quantique : même un ordinateur utilisant des circuits de calcul quantiques conserve pour ses circuits de contrôle une logique de von Neumann non probabiliste mais bien finie dans le temps et non ambigüe. A lire sur le site de l’Agence web Lyon.

Ségolène, dégagée !

L’ancienne ministre de l’Ecologie tourne la page de son passage au ministère de l’Ecologie. Et fait comprendre clairement qu’elle souhaitait rester dans l’exécutif. Ségolène Royal aurait aimé qu’Emmanuel Macron la traite avec un peu plus d’égards. L’ancienne ministre de l’Ecologie n’en veut pas au successeur de François Hollande. Mais elle affirme ce mardi que le chef de l’État n’a pas vraiment respecté la consigne qu’elle lui avait donné avant la nomination du nouvel exécutif.  Au moment de composer le gouvernement, le président Emmanuel Macron l’a appelée pour lui dire qu’elle n’en ferait pas partie. « Je lui avais pourtant demandé de me prévenir si je ne restais pas au gouvernement, regrette-t-elle auprès de Paris Match. Que je puisse alerter mes proches. C’est suffisamment dur. Il ne l’a fait qu’au dernier moment… »   Une amertume qu’elle n’a pas davantage masquée ce mardi sur BFMTV. « Dans les gouvernements, il y a toujours des ajustements de dernière minute. Donc j’ai été la variable d’ajustement, lance-t-elle. Ce n’était pas très agréable, mais enfin je comprends. J’ai de l’expérience, donc je comprends aussi les contraintes gouvernementales ».  La finaliste de la présidentielle 2007 assure toutefois qu’Emmanuel Macron lui a demandé de son aide sur le dossier climat. « Je vais continuer le combat climatique, je mettrai mes compétences au service de ce combat et du gouvernement », promet-elle, indiquant être en contact avec les ministres Nicolas Hulot et Jean-Yves Le Drian pour continuer à travailler sur ces dossiers.  Celle qui a échoué à prendre la tête du programme des Nations unies pour le développement « n’a pas l’intention de prendre sa retraite ». Selon Match, elle s’atèle désormais à la création d’une start-up du nom de son dernier ouvrage « Manifeste pour une justice climatique ». Une entreprise dont les contours demeurent flous mais qui « sera entièrement dédiée à la croissance verte », affirme-t-elle.

Taxer le tabac

Les prix du tabac vont enregistrer une évolution contrastée, après une augmentation mi-mars de la fiscalité sur les paquets de cigarettes et de tabac à rouler les moins chers, selon un arrêté paru dimanche au Journal Officiel.  La nouvelle nomenclature de prix entrera en vigueur le 15 mai.    Elle intervient après un arrêté pris mi-mars par Bercy et le ministère de la Santé relevant le « minimum de perception » sur les cigarettes et le tabac à rouler, ce qui revient à imposer une hausse des taxes sur les paquets les moins chers.    L’objectif affiché de la mesure était de forcer la main des fabricants, qui avaient choisi en début d’année de ne pas augmenter les prix des cigarettes malgré des hausses de fiscalité décidées fin 2016 par le gouvernement.   Selon l’arrêté d’homologation des prix paru dimanche, certaines marques vont procéder à de légères augmentations de leurs prix, à l’image du paquet de Lucky Strike rouge ou celui de Winfield bleu qui passent de 6,50 à 6,60 euros.   D’autres ont en revanche maintenu leurs prix inchangés. C’est l’exemple du paquet de News rouge (Seita) qui va rester à 6,50 euros.   « Sur l’entrée de gamme, l’évolution est contrastée, il y une tendance à la hausse mais qui n’est pas généralisée », commente auprès de l’AFP une source proche de l’industrie.   Les différents paquets de Marlboro, la marque la plus vendue et spécialisée dans le haut de gamme, restent inchangés à 7 euros. Le paquet de Camel va quant à lui redescendre de 7 à 6,90 euros.   Seita, filiale française du cigarettier britannique Imperial Tobacco, a « décidé de ne pas répercuter la hausse du minimum de perception sur les prix de ses marques d’entrée de gamme (News) », a informé dans un communiqué son directeur des affaires légales, Morgan Cauvin.   « Notre priorité est de limiter l’attractivité du marché parallèle surtout quand on sait qu’une cigarette sur quatre est issue des trafics illicites et que les consommateurs s’approvisionnent de plus en plus à l’étranger », a ajouté M. Cauvin.    Ce sont les fabricants, pas l’État, qui fixent les prix de détail, « librement » comme dit la loi. Ils doivent simplement les faire homologuer par le gouvernement, qui s’assure que ces tarifs ne sont pas inférieurs au prix de revient et à l’ensemble des taxes.

A Montevideo

Le mois dernier, j’ai découvert Montevideo lors d’un voyage inoubliable avec ma douce. Cette manière de voyager est pour nous assez récente. Pendant des années, nous sommes partis par nos propres moyens. L’idée que des gens aiment voyager ensemble nous faisait faire la grimace. Nous nous lions sans problème avec les autres. Seulement, nous avons fait le choix de voyager de notre côté après être partis en vacances avec un couple d’amis. Il faut dire que notre amitié était terminée dans la foulée. Nous les fréquentions pourtant ce couple depuis l’université, mais le fait de vivre avec H24 nous les a révélés sous un nouveau jour. Nous nous sommes rendus compte qu’ils étaient incroyablement autoritaires ; ils voulaient profiter des vacances de manière optimale : lever aux premières lueurs de l’aube, programme de visites prévu d’avance, pas une seconde pour souffler un peu. Si vous me connaissez, vous savez combien c’est l’antithèse de moi. Autant vous dire que j’ai beaucoup pris sur moi durant ce voyage et j’ai eu de jeter mes amis par la fenêtre. Il faut respecter ses propres limites : on n’est pas nécessairement conçus pour voyager avec d’autres personnes, et ce même lorsque ce sont des amis.
Étonnamment, nous nous sommes aperçus qu’il était plus agréable de partir avec des couples qui nous étaient inconnus. On ne se sent pas contraints de discuter avec chaque participant et de devenir amis ; les enjeux sont beaucoup moins grands. Je pense que c’est l’idée du choix qui nous captive dans le voyage . Libre à chacun de voyager de manière fusionnelle ou jouer les ermites. Et croyez-en mon expérience, ça peut faire toute la différence entre de bonnes et de mauvaises vacances. Pour terminer, voici le site de l’agence de ce voyage. Ma femme et moi en sommes revenus des étoiles plein les yeux. Pour en savoir plus, allez sur le site spécialiste du voyage insolite.

montevideo

Délit d’entrave à l’IVG sur Internet

Au nom de la liberté d’expression et de communication, les Sages ont émis deux réserves qui limitent la portée du texte. Les sites internet «anti-IVG» devraient difficilement tomber sous le coup de la nouvelle loi. Jeudi, en fin d’après midi, le Conseil constitutionnel a déclaré la loi relative à l’extension du délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse conforme à la Constitution. Dénonçant une «atteinte à la liberté d’expression», plus de soixante députés et plus de soixante sénateurs LR avaient présenté un recours contre cette loi, votée le 16 février dernier, qui punit de deux ans de prison et de 30.000 euros d’amende toute tentative en ligne de diffuser des informations «de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif, sur les caractéristiques ou les conséquences d’une interruption volontaire de grossesse». Pour les parlementaires PS à l’origine du texte, cette loi doit permettre de lutter contre «la désinformation sur l’avortement organisée aujourd’hui en ligne par les groupuscules anti-choix». Mais à l’Assemblée comme au Sénat, des voix s’étaient élevées à droite pour dénoncer la création d’un «délit d’opinion». Le Conseil constitutionnel a notamment validé les aspects du texte visant à réprimer des «abus de la liberté d’expression et de communication» commis dans les établissements pratiquant l’IVG ou à l’encontre de leur personnel. Mais les Sages de la rue Montpensier ont aussi émis deux réserves qui limitent sa portée, notamment sur son aspect numérique. «La seule diffusion d’informations à destination d’un public indéterminé sur tout support, notamment sur un site de communication au public en ligne, ne saurait être regardée comme constitutive de pressions, menaces ou actes d’intimidation au sens des dispositions contestées, sauf à méconnaître la liberté.

Marketer l’information

Le marketing de l’information est le moyen numéro un de faire des profits énormes de votre livre. Voici trois secrets de marketing de livre de l’information les plus réussis marketing aujourd’hui. Si vous le donnez gratuitement, ils viendront. Ou ils vont au moins échanger leur adresse e-mail pour votre information gratuite. Une fois que vous avez leur adresse e-mail, vous pouvez les contacter pour faire des annonces de produits, promouvoir des produits d’affiliation ou tout simplement dire bonjour. En outre, en donnant gratuitement des informations de qualité, vous laissez les clients potentiels savent que vous êtes une source fiable d’informations de qualité. Il vous donne la crédibilité et il permet à vos clients de savoir que vous êtes une source digne de confiance. Vous pouvez fournir des petits morceaux de l’information libre dans une variété de façons. Si vous poursuivez une carrière dans le marketing d’information, vous pouvez utiliser des articles gratuits et des rapports sur votre sujet de niche comme un moyen d’améliorer votre crédibilité. Si vous voulez vendre votre livre, vous devez vendre les avantages que les gens recevront en le lisant. Le livre le plus bien écrit et intéressant ne vendra pas une seule copie s’il n’y a pas un avantage exprimé à être gagné en le lisant. Peut-être l’avantage est aussi simple que le fait que, après avoir lu, vous serez plus intelligent. C’est toujours un avantage et un désir de beaucoup. Soulignez les avantages en les énumérant d’abord dans le titre de votre livre. Un livre intitulé «Organic Gardening» n’est pas aussi convaincant que «Comment faire pousser votre propre jardin biologique et allonger votre vie par dix ans. Lisez Let Them Juge votre livre par sa couverture pour apprendre les quatre étapes simples qui obtiendront votre livre remarqué. Conseil, le premier est le titre.Création d’autres produits qui soutiennent votre livre est la meilleure façon de gagner de l’argent, et de vendre plus de livres .. Votre livre est la preuve que vous êtes un expert. Les autres produits d’information qui sont fabriqués à partir de votre livre sont où les gros dollars sont faits. Une fois que vous avez votre livre terminé, vous avez facilement deux produits supplémentaires pour votre ligne de produits-un e-book et un livre audio. Le contenu est là, vous avez déjà fait la partie difficile. Tout ce que vous avez à faire maintenant est de produire les autres versions. La liste va encore et encore, je réellement liste plus de 20 possibilités dans mon livre « 101 raisons pour lesquelles vous devez écrire un livre. Lorsque vous créez une ligne de produits, chaque nouveau produit peut en fait le marché de votre livre via un lien, une référence, une annonce pleine page à l’arrière de votre classeur du séminaire, etc… Le marketing de livre peut être une carrière extrêmement lucrative. Si vous suivez ces trois secrets et les utiliser pour commercialiser votre livre, vous serez sur votre chemin à profonds bénéfices et la réussite financière que vous désirez.

Merci pour ce moment là-haut

Je crois que j’ai rarement été aussi détendu qu’en ce moment. Pourtant, la période est plutôt chargée, niveau travail. Mais voilà : j’ai eu ma dose d’adrénaline et je me sens du coup capable d’affronter n’importe quoi sans broncher. Et quelle dose d’adrénaline, en l’occurrence ! Samedi dernier, j’ai en effet testé un vol en avion de chasse dans le ciel de Pontoise. C’était vraiment ahurissant : il me suffit de fermer les yeux pour ressentir à nouveau la sensation d’écrasement induite par les facteurs de charge. Dans certaines figures acrobatiques, je pesais presque jusqu’à six fois mon poids ! Bref, un moment de pure magie. Pourtant, en racontant mon expérience, j’ai été halluciné de voir la réaction de mes beaux-parents ; ils étaient consternés. Ils ne comprenaient tout simplement pas pour quelle raison j’avais voulu gaspiller un demi-salaire dans une expérience aussi courte. Ça m’a tellement scotché que je suis resté silencieux en les écoutant. Et en fait, ce n’est pas plus mal, que je n’aie pas essayé de les convaincre. Il est fort probable que nous avons une perception du monde si divergente que toute tentative de communication est vouée à l’échec entre nous. Même si je m’étais aventuré à les convaincre, je n’aurais fait qu’envenimer les choses. C’est vrai, j’aurais pu prendre, comme me l’a suggéré plus d’une fois mon cher beau-père, ces économies pour m’acheter un nouvel ordinateur, ou une tablette. Le truc, c’est que je n’en ai pas besoin. Je suis suffisamment équipé, merci bien. Et ce que je recherche ne se trouve de toute façon pas dans des objets manufacturés : ce sont des moments uniques que je recherche. Alors pour moi, le temps qu’on dilapide devant nos écrans est, le plus souvent, du temps perdu. Alors que le peu de temps que j’ai passé dans cet avion de chasse restera gravé en lettres de feu dans ma mémoire ! Chacun sa manière d’envisager l’existence, j’imagine. Pour mes beaux-parents, cela fait de moi un être immature. Mais je préfère largement être immature que passer à côté de ma vie ! Tenez, je vous mets en lien le prestataire par lequel je suis passé pour ce vol en L39, si vous voulez voir à quoi ça ressemble. Carpe diem !

Des Islamistes dans la police

La police parisienne compte 17 agents radicalisés recensés entre 2012 et 2015. Y aurait-il d’autres extrémistes non signalés? Les ministères de la Défense, de l’Intérieur et de la Justice n’ont pas non plus été épargnés par le fléau. Il s’est avéré qu’en 2012 et 2015 la police de proximité de l’agglomération parisienne comptait pas moins de 17 extrémistes, apprend-on dans le livre de deux journalistes Eric Pelletier et Christophe Dubois, intitulé « Où sont passés nos espions », mis en vente ce mercredi. ? Les auteurs du livre se réfèrent notamment à une note de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) datant du 9 décembre 2015. Ces radicalisés sont des « jeunes, entrés dans la police au milieu des années 2000 et issus d’un concours interne, nombre d’entre eux étant d’anciens adjoints de sécurité, les emplois jeunes de la police », d’après les écrivains. Quatre des 17 policiers radicaux ont été de jeunes convertis. . Médecins sans Frontières accuse la police de violence envers les migrants Les journalistes précisent en outre que le nombre de policiers radicalisés avait connu une augmentation en 2014, ce qui coïncide notamment avec la création du « califat » proclamé par les terroristes de Daech sur les territoires contrôlés en Syrie et en Irak. Cependant, la police de la capitale française n’est pas seule à être affectée par le mouvement extrémiste. Des islamistes radicaux occupent également des postes au sein des ministères de la Défense, de l’Intérieur ainsi que de la Justice. « Pour l’ensemble des ministères régaliens — Défense, Intérieur et Justice — nous dénombrons une centaine de cas de radicalisation », apprend-on du livre.

Pas de passeport Suisse

La Suisse a refusé de fournir un passeport à une activiste végétarienne d’origine néerlandaise luttant contre les cloches de vache et d’autres traditions séculaires du pays. La Néerlandaise Nancy Holten a déménagé en Suisse à l’âge de huit ans. Elle a en outre deux enfants de nationalité suisse. Pourtant, les autorités du pays lui ont refusé à deux reprises la délivrance d’un passeport suisse. Nancy Holten vit en Suisse depuis 34 ans, parle couramment allemand mais n’est toujours pas arrivée à s’habituer aux mœurs et coutumes du pays. Elle a plusieurs fois protesté contre certaines particularités du mode de vie de la population locale, dont les cloches de vache, lit-on sans le journal britannique Daily Mail. Les résidents de Gipf-Oberfrick, petite commune suisse du canton d’Argovie dans le sud du pays, en ont marre des grommellements incessants de leur voisine et font tout leur possible afin de la priver du droit de devenir une vraie Suisse. En 2015, lorsque la Néerlandaise a demandé aux autorités de se faire naturaliser, les habitants de Gipf-Oberfrick ont voté contre lors d’un référendum. La deuxième tentative de Nancy Holten n’a pas eu plus de succès à cause des « efforts » de ses bienveillants voisins qui ont dénoncé son manque de respect envers les traditions suisses ainsi que ses propos virulents sur le sujet. Nancy Holten, pour sa part, proteste que « le son émis par une cloche de vache atteint 100 décibels, ce qui est relatif au bruit d’une perceuse pneumatique ». Elle souligne aussi que les animaux portent au cou un poids de cinq kilogrammes qui a des conséquences négatives sur leur santé.