Se faire le pont de Brooklyn

Il mesure presque 2 km de long, incentive à New York je vous conseille de le traverser à pied. Il n’y a que des avantages d’aller de Manhattan à Brooklyn en passant par le Brooklyn Bridge à pied. D’une part les voitures et les piétons sont séparés, donc aucun danger. Mais c’est surtout pour le paysage, vous aurez une vue magnifique sur tout Manhattan et Brooklyn, mais aussi sur la statue de la liberté. Sans oublier que c’est quand même quelque chose de mythique de marcher sur ce célèbre pont. Je ne vous le cache pas, c’est quand même un peu long, donc pensez à prévoir du temps devant vous et surtout de bonnes chaussures. Oui, en voyage à New York on recherche souvent d’où avoir la plus belle vue. Attention nous étions en avril et il y avait pas mal de vent. On oublie donc les chapeaux pour la photo sinon vous risquerez de le retrouver dans l’eau.

Pour continuer les recherches sur cette fameuse chaise, l’armée a mis à disposition une base désaffectée de Montauk avec du matériel comme un générateur et un vieux radar. Toute la base était reliée par des tunnels souterrains dont certains n’étaient accessibles que par la mer. En 1971, les expériences ont démarré et toutes étaient sur la manipulation du cerveau et le contrôle mental. Chaque essai était effectué sur des personnes volontaires, mais très peu ont survécu à ces expériences. En effet, ils ont subi des lésions cérébrales et aux poumons. De plus, 250 000 habitants de Long Island ont été victimes de ces tests sans en avoir été averti préalablement. Par ailleurs, ces expériences ont permis de créer un signal qui pouvait placer une personne dans un état second dans lequel elle devenait complètement malléable. En parallèle, ils ont travaillé sur le voyage dans le temps qui s’est rapidement généralisé. La chaise de Montauk a servi à lire dans les pensées des volontaires et à les transmettre sur un écran. Durant de nombreuses années, les recherches ont continué pour que la chaise soit totalement fiable. De plus, grâce à cela les scientifiques ont pu matérialiser des objets simplement avec leur pensée. Aujourd’hui, nous ne savons pas jusqu’où ont pu aller ces travaux, mais ce qui est certain, c’est que ceux-ci ont continué dans le but de contrôler la population. A partir de 1979, ils se sont concentrés sur le voyage dans le temps et pour cela, ils ont collaboré avec des civilisations extraterrestres.

Le ferry de l’East River Ferry effectue des arrêts tant au nord qu’au sud. La ligne G traverse également le district. La station Bushwick-Aberdeen () dessert Bedford Avenue et la station Chauncy Street dessert Marcy Avenue sur les lignes . On trouve un arrêt de bus aux stations Marcy Avenue et Myrtle-Wycoff à Bushwick. Le bus B39 passe le pont de Williamsburg ainsi que les lignes et descend sur Lower East Side. Si vous êtes intéressé par LINK, veuillez consulter notre page d’accueil. Bedford Avenue – La zone autour de la station de métro Bedford Avenue est aussi animée que touristique, on peut notamment y voir de nombreux hipsters. 19 h – 22 h, sam.-dim. Midi-18 h. – Un petit musée comprenant divers objets en rapport avec l’histoire de la ville. 19 h sur rdv. Galerie fondée par deux artistes, Todd Rosenbaum et Cecilia Biagini. Promeut l’art contemporain local qu’ il s’agisse de peinture, sculpture, photo ou installation multimédia. 18 h. – Le bâtiment date de 1867, il s’agissait d’une banque à l’époque. Source: New York.

Dans les airs la tête l’envers

La semaine dernière, ma femme et moi nous sommes rendus dans le Nord pour une activité un peu particulière qu’elle m’avait offerte quelques mois plus tôt : un baptême de voltige aérienne.
Je passerai sur les détails de cette activité extraordinaire mais ô combien remuante pour m’attarder sur un paysage que nous avons découvert par la suite, en poussant jusqu’à la fameuse mer du Nord : la Côte d’Opale. Un nom très beau pour un endroit qui l’est tout autant. Bien arrondie, entre Gravelines qui donne sur la mer du Nord et le domaine du Marquenterre qui plonge dans la Manche, voici donc la Côte d’Opale. Pourquoi ce nom, me direz-vous ? Il est en fait très bien choisi, puisqu’il fait référence à la teinte laiteuse des eaux, dans lesquelles se dissout la craie arrachée aux falaises. Les teintes de l’eau y sont proprement uniques. C’est par ailleurs le lieu de l’Hexagone qui est le plus proche de l’Angleterre. Il n’est donc pas étonnant d’y découvrir tant de liens entre les deux pays, à commencer par le tunnel sous la Manche. Mais, bien avant cette prouesse technique et technologique, il y eut cette fameuse rencontre du « Camp du drap d’or », au mois de juin 1520, dont on m’avait raconté l’anecdote au cours de mes études, et qui m’avait, je ne sais trop pourquoi, marqué. Ce nom légèrement pompeux désigne en fait une entrevue qui s’est déroulée près de Calais, entre Guines et Ardres, entrevue réunissant le roi d’Angleterre Henri VIII et le roi de France François Ier. Ils se retrouvaient pour tenter de contrer les appétits grandissants du nouvel empereur germanique Charles Quint. Les souverains français et anglais avaient déployé d’incroyables fastes lors de cette rencontre qui a duré plus de quinze jours. Pour éviter d’habiter chez l’un de leurs vassaux, les deux rois s’étaient fait aménager d’immenses tentes brodées d’or et de pierres précieuses ; ils avaient rivalisé d’adresse lors d’une lutte à mains nues pour finalement… ne rien décider. Ils se sont au final quittés bons cousins, et rien de plus ! Je crois que cette histoire m’avait marqué car, jusque là, je pensais que les puissants avaient quelque chose de plus que les simples mortels, qu’ils étaient sans doute plus intelligents, ou plus doués. J’étais jeune. Et il n’est plus possible de se faire de telles illusions quand on voit notre Président actuel à l’oeuvre. Me souvenir de cette histoire m’a plombé le moral, en définitive, et je vais en rester là pour aujourd’hui. Mais si vous avez un jour l’occasion d’aller sur la Côte d’opale, ou même d’essayer la voltige aérienne (coeur sensible s’abstenir), n’hésitez pas : les deux ont été une très belle expérience pour moi. Encore plus d’information sur cette activité de ce voltige aérienne à Lille en allant sur le site internet de l’organisateur.

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L’impact des IDE

Après deux décennies, les flux d’investissements directs étrangers (IDE) et les fonds générés par les activités des firmes multinationales (FMN) originaires du « Nord » comme du « Sud », ont dépassé les autres sources de financements extérieurs des pays en voie de développement [1].

Ces dernières années, les IDE des multinationales du Sud offrent à leur tour de nouvelles perspectives et opportunités pour les économies émergentes. En effet, elles engendrent potentiellement des bénéfices à la fois pour le pays d’accueil mais aussi pour le pays d’origine. Parmi ces bénéfices, on trouve « l’augmentation de la compétitivité, un accès aux financements étrangers et au transfert de technologies, l’intégration dans la production mondiale et les réseaux de distribution, un accès sûr à des matières premières et des retombées économiques pour les firmes locales ». Aussi, il est à noter que les multinationales du Sud ont la particularité de s’internationaliser vers des pays plus pauvres et d’investir dans des pays considérés « peu intéressants » par les firmes du Nord. [2]

Cependant, au sein des pays qui attirent les IDE, les forces de transformations politiques et économiques créent une grande instabilité qui entraîne souvent des conflits violents. Le Rapport sur l’investissement dans le monde de la Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (CNUCED) indiquait qu’en 2000, 72 pays comportaient un risque pour les affaires internationales. [3] Dans cette conjoncture, le potentiel des conflits devient un enjeu incontournable pour les investisseurs qui transfèrent leurs activités dans ces zones. [4]

Pour promouvoir leurs produits et services, les firmes ont tout intérêt à ce que l’environnement dans lequel elles opèrent soit stable et en paix. Un certain degré de stabilité est indispensable pour favoriser et assurer l’entrée des investissements. En règle générale, les facteurs déterminants pour l’établissement des firmes à l’étranger sont principalement « la stabilité du gouvernement du pays hôte, l’absence de conflit interne et de tensions ethniques, les droits démocratiques et l’insertion de la loi et de l’ordre. » [4]

Concernant le secteur d’activité privilégié par les IDE, on constate que, dans plusieurs pays parmi les moins avancés, l’investissement direct est généralement concentré dans un petit nombre de secteurs, plus particulièrement dans les mines et l’extraction de minerais. [1] Ainsi, en 2003, les plus gros bénéficiaires des apports bruts d’IDE étaient la Guinée équatoriale, l’Angola, le Soudan, le Nigeria et le Tchad, où la majorité des investissements sont liés à la prospection et l’extraction pétrolières. [1] Or, la gestion de terres et de ressources naturelles (GRN) est très souvent la cause des conflits intra et inter-étatiques dans ces pays. [5]

En termes pratiques, si les firmes multinationales décident d’investir dans certaines zones à risques, elles se doivent de trouver des moyens d’opérer en accord avec les normes internationales et d’évaluer si leurs opérations contribuent effectivement à ne pas accroître l’inégalité ou l’instabilité déjà existante. Au-delà de la coordination de leurs activités, les entreprises étrangères peuvent pro-activement créer de la valeur positive au sein du pays-hôte en développant un meilleur impact social, en appuyant la constitution ou le renforcement d’institutions civiques ou en soutenant des actions collectives locales. [6] Plus généralement, l’action collective des firmes peut être particulièrement adaptée pour aborder les questions politiquement sensibles comme la corruption et les violations des droits humains. Les firmes peuvent ainsi jouer un rôle dans les processus de réconciliation et de construction de la paix.

De nouveaux types de partenariats intersectoriels entre le monde des affaires, le gouvernement et la société civile peuvent également être des mécanismes précieux pour aborder les questions complexes associées à la prévention des conflits. A ce titre, The National Business Initiative en Afrique du Sud [7] ou encore The Philippines Business for Social Progress [8] sont des exemples de coalitions d’ »affaires dans la société » qui s’engagent dans des activités en faveur de la paix et qui permettent aux multinationales d’apporter une plus-value véritablement bénéfique au niveau local.

Par Nathalie Denéchère

Bibliographie :

[1] OCDE, Revue de l’OCDE sur le développement, Annexe A : Les tendances de l’aide et de l’investissement privé au service du développement, 2005/2 (no 6), Disponible en ligne à l’adresse suivante : http://www.cairn.info/revue-de-l-ocde-sur-le-developpement-2005-2-page-43.htm

[2] Introduction au développement international, approches, acteurs et enjeux, Sous la direction de Pierre Beaudet, Jessica Schafer et Paul Haslam, Chapitre 10 : Les firmes multinationales et le développement, Paul A. Haslam, p.

Les débuts de la chasse Russe

L’OKB dirigé par Semyon Un Lavochkine a commencé travailler sur de nouvelles conceptions de chasseurs à réaction en février 1945. Grâce à une nouvelle spécification étant délivré à plusieurs OKB à la fois, Lavochkin travaillait maintenant en concurrence avec d’autres organisations, ce qui n’était pas le cas lorsque le La-VRD a été conçu un an plus tôt. En avril, les efforts de l’OKB se concentraient sur deux projets distincts, le léger ‘Aircraft 150 ‘avec un seul allemand Jumo 004 moteur (en réalité la copie soviétique RD-10) et le plus lourd bimoteur ‘Aircraft 160’ (au dessous de). Encore une fois, en choisissant les 150 la mise en page l’équipe de conception s’est appuyée sur le matériel et données fournies par TsAGI, l’avion a finalement été montrant une prise de nez; une pièce droite aile placée haut sur le fuselage et construite intégralement avec elle, un ‘pod’ de fuselage principal court avec le moteur épuisant sous ce que dans l’effet était un seul boom; et un conventionnel queue et nageoire Il y avait aussi un train d’atterrissage tricycle et monté deux canons de 23mm, un sur de chaque côté du fuselage inférieur avant. Dans fait, comparé à certaines conceptions de chasseurs au début, et aussi plusieurs des derniers produits de Lavochkin, le ‘150’ était plutôt attrayant combattant. Le projet de développement avancé pour le «150» a été achevée en avril 1945. Il s’agissait d’un la maquette a été construite en mai et juin, et un lot de pré-production de cinq avions était prévu. Cependant, parce que Lavochkin la base à l’usine n ° 81 avait une fabrication limitée capacité, ces avions devaient être construits à l’usine n ° 381, ce qui a entraîné des retards. Dans fait, il a fallu presque un an pour construire les cinq avions parce que, jusqu’à ce moment, Factory N ° 381 n’avait auparavant travaillé que sur avion en bois. En outre, à la suite d’une décision de la NKAP, en octobre 1945, l’affaire Lavochkin OKB (et usine n ° 81 également) transférés vers avion Usine n ° 301 à Khimki pour permettre à OKB étend ses installations et, à partir de maintenant, construire ses propres prototypes (NKAP était la Commissariat à l’Industrie Lourde). Tous cela a contribué au programme ‘150’ tomber en retard et à la fin de 1945, seule la cellule d’essai statique était terminée à l’usine 381. Le fuselage arrière sur le cellule statique a ensuite échoué, principalement parce que les parties en acier de sa structure n’avaient pas reçu le traitement thermique correct pour augmenter la résistance et la dureté du matériau propriétés au niveau requis. Éliminer ce problème et répéter les tests statiques apporté un délai supplémentaire et donc l’occasion a également été prise pour modifier les ailes et la queue et augmenter la surface de la nageoire. Source : vol en avion de chasse

Décollage pour l’hiver

Alors que les températures chutent partout en Europe, nos clients commencent à réserver leurs séjours de ski pour la prochaine saison d’hiver. Et comme le savent souvent ceux qui volent, plusieurs aéroports à jets privés desservant des domaines skiables peuvent être très fréquentés pendant les périodes de pointe. Nous recommandons aux clients voyageant vers les stations de ski de réserver plus longtemps en période de pointe. Image: Alex Peake Alors que les vols à la demande avec des jets privés peuvent généralement être réservés à la dernière minute (parfois même en moins d’une heure), nous recommandons aux clients voyageant dans certains aéroports entre décembre et février de réserver à l’avance, en particulier lors des voyages du vendredi au week-end. ou pendant les périodes de vacances scolaires. Ces aéroports comprennent Genève, Chambéry, Courchevel, Innsbruck, Sion, Samedan St Moritz et Zurich. Une combinaison de disponibilité réduite des avions nolisés; stationnement limité des aéronefs; et les exigences de repositionnement peuvent signifier que les vols de dernière minute vers ces aéroports aux heures de pointe entraînent des coûts plus élevés – ou dans certains cas Dans certains cas, l’aéroport peut atteindre sa pleine capacité. Nous vous conseillons donc de réserver le plus en amont possible pour vous assurer des avions, des prix et un itinéraire optimaux. Les vols de dernière minute sont toujours possibles, bien sûr, mais peuvent obliger les clients à revoir leurs itinéraires ou, en période de pointe, à utiliser d’autres aéroports, ce qui nécessiterait un transfert au sol plus long de l’autre côté. La demande en jets privés augmente à Genève, Chambéry et dans les autres aéroports proches des domaines skiables en hiver. Image: Alex Peake Transferts en hélicoptère vers les stations de ski à partir de 300 € par personne Que vous voyagiez en avion privé ou en avion, le transfert par hélicoptère est le moyen le plus rapide et le plus direct d’atteindre les pistes. Nous proposons des tarifs fixes très compétitifs pour les transferts en hélicoptère privé entre les aéroports et les stations de ski, y compris Courchevel, Méribel, Tignes, Val d’Isère et bien d’autres.

Du SMS en avion

avion (2)Il n’y a rien de plus important dans l’industrie aéronautique que la sécurité. Chaque loi, règle ou procédure trouve son origine dans l’objectif général d’accroître la sécurité. Le système national d’espace aérien des États-Unis est l’un des plus sûrs au monde, car il est toujours amélioré et innové. Aujourd’hui, j’aimerais examiner l’un des plus récents règlements concernant la sécurité dans l’aviation, les systèmes de gestion de la sécurité (SMS). Historiquement, le processus d’amélioration de la sécurité était purement réactionnaire. Les autorités attendent un accident, enquêtent sur l’accident pour identifier la cause, puis apportent les modifications nécessaires pour éviter le même accident à l’avenir. Ceci est inefficace, car il peut résoudre un ou deux problèmes à la fois, mais pas les facteurs contributifs moins évidents de l’accident. Bien entendu, les accidents continueront d’être étudiés et d’apprendre, mais il existe un nouveau système qui adopte une approche plus préventive. Les systèmes de gestion de la sécurité (SMS) sont un élément essentiel concept dans l’industrie de l’aviation et reconnu par la FAA et l’OACI. La FAA a expliqué cette approche structurée et professionnelle à la gestion et à l’amélioration de la sécurité dans tous les aspects de l’industrie de l’aviation dans une série de circulaires consultatives. Un SMS est-il obligatoire pour toutes les opérations aériennes? Pas assez. Par exemple, un SMS pour toutes les parties 139 des aéroports certifiés a été proposé dans l’avis de projet de règlement (NPRM) en octobre 2010, mais en 2016, la FAA a publié un avis de proposition de réglementation un SMS à 265 aéroports certifiés en vertu de la partie 139; Les aéroports qui doivent avoir un programme SMS sont les suivants: – classé comme aéroport central de petite, moyenne ou grande taille dans le plan national des systèmes aéroportuaires intégrés; – identifié par les services des douanes et de la protection des frontières des États-Unis comme un port d’entrée, un aéroport international désigné, un aéroport de droits d’atterrissage ou un aéroport payant; ou – identifié comme ayant plus de 100 000 opérations annuelles totales. Cette exigence maximise les avantages en matière de sécurité de la manière la moins onéreuse et est conforme aux normes internationales. Les aéroports qui ne sont pas tenus de posséder un SMS peuvent toujours utiliser les ressources de la FAA et mettre en œuvre des pratiques sélectionnées pour assurer la sécurité dans leur aéroport. Un plan SMS complet peut prendre des mois à créer et, dans certains cas, nécessiter l’aide d’un cabinet de conseil externe. Source : peur en avion.

Les Trains Express Régionaux : les limites d’une régionalisation réussie

Les TER transportent 300 millions de voyageurs par an pour un trafic total de 13 milliards de voyageurs.km. On trouve dans le TER des services de nature très différente : – Les régions du bassin parisien organisent des trains vers Paris qui pour certains s’apparentent à des trains de banlieue et connaissent les flux massifs des migrations alternantes ; – Dans les plus grandes métropoles le TER assure des dessertes qui atteignent des volumes importants et emploie des matériels capacitaires à deux niveaux ; – Le TER a également un rôle de liaison entre villes, sur des distances de 50 à 300 km, avec des flux moins importants ; – Enfin le TER assure des dessertes en zone peu dense, sur les « petites lignes » du réseau ferré national ; il s’agit alors de services peu fréquents et peu fréquentés. Grâce aux financements des autorités organisatrices régionales, l’offre TER a progressé de plus de 25% depuis 1997, et le trafic a crû de plus de 50%. La régionalisation peut donc être considérée comme un succès. Mais les charges d’exploitation environ 4 milliards d’euros, sont couvertes par 3 milliards de subventions des régions et seulement 1 milliard d’euros de recettes commerciales. – En 2013, les Régions ont consacré, en moyenne 23% de leur budget total (fonctionnement et investissement) aux transports, dont 16% pour le TER ; – Les coûts ont augmenté plus vite que le trafic voyageur, notamment en raison de la dérive des coûts salariaux, qui représentent près de 60% des coûts totaux ; – Depuis 2012, le trafic est orienté à la baisse (-4,4% en 3 ans) ; – La contribution des autorités organisatrices, a augmenté de 110% depuis 2002. La contrainte budgétaire croissante qui pèse sur les régions les ont conduites, dans ce contexte, à réduire l’offre.

Sous les robes

Reluquer des robes sans avoir l’air d’un pervers, ce n’est pas donné tous les jours. Mais c’est pourtant ce que j’ai fait la semaine dernière, en me rendant à Paris pour y suivre mon premier cours d’oenologie. Là, on ne conseille pas seulement de regarder, mais aussi de sentir et de goûter ! Si je voulais suivre un cours de ce type, c’est parce qu’il permet à mon sens de faire une expérience impossible à réaliser chez soi : sérieusement, qui serait prêt à ouvrir cinq bouteilles millésimées au cours d’une même soirée sans les finir ? Et recracher le contenu d’un verre plutôt que de l’avaler ? Bon, pour être honnête, j’appréhendais un peu d’atterrir dans une pub Bordeau Chesnel, où tous les participants, docteurs ès oenologie, me regarderaient de haut en bas en me disant : « nous n’avons pas les mêmes valeurs ». Mais tout s’est heureusement bien passé, et l’atelier s’est déroulé dans une ambiance détendue et conviviale. J’ai pu déguster (à l’aveugle, histoire de ne pas se laisser influencer par le nom) six vins d’exception (et qui plus, à des prix relativement abordables) provenant de différentes régions de France. J’ai bien apprécié d’avoir goûté à des vins qu’on peut ensuite acheter, plutôt que de goûter à des crus extrêmement rares qu’il est impossible de se payer en dehors de ce cadre. Côté participant,s tous les âges étaient présents ; les cours d’oenologie s’adressent à toutes sortes de publics, et cela va du simple bizut à l’aficionado. Cela dit, il ne faut pas s’attendre à devenir un un fin connaisseur après 3 heures de formation. C’est très intéressant à vivre et cela permet de connaître le vocabulaire adéquat pour décrire un vin, mais on n’en ressort pas transfiguré, non plus. On apprend par exemple à séparer le goût de l’alcool, en plaçant le vin sous la langue et en le faisant bouillonner en inspirant par la bouche. On apprend à mettre des mots sur des impressions, notamment en découvrant les grandes palettes aromatiques (végétal, animal, minéral, fruité…). Mais on est encore loin, à la sortie, de pouvoir déterminer d’après la robe d’où vient tel vin, où il va et dans quel état il erre. En dépit de ça, si vous n’avez jamais tenté l’expérience, je vous la recommande. Vous ne dégusterez plus du tout le vin de la même manière. Suivez le lien vers ce très bon cours d’œnologie.

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Les réseaux sociaux, les connexions mobiles et leur contenu en Chine

En Chine il est essentiel : / d’être référencé sur le moteur de recherches Baidu. / que les informations soient traduites en pinyin (chinois simplifié), l’anglais ne suffit pas. / que le site soit hébergé en Chine (.cn), notamment du fait d’importantes différences de vitesses de chargement, avec le nom en pinyin. / La présence sur le web ne se résume plus seulement à un nom de domaine ou à un bon référencement. Le meilleur outil de communication sur ce marché reste les médias sociaux chinois ; ils sont la première source d’information pour les voyageurs. Ces derniers aiment lire les avis et conseils, vérifier sur les forums la réputation de l’agence de voyage et de ses services et enfin solliciter leur réseau en posant des questions à leurs proches. Hyper connectés, les millenials chinois (20-35 ans) vivent au quotidien une expérience globale de l’information et de la culture. Les « comptes officiels WeChat » et les « WeChat Moments » sont pour cette cible la première source d’information pour le voyage (à respectivement 48% et 47%), devant les sites internet qui représentent 42%. D’une manière générale, les principaux réseaux sociaux ont un impact considérable / Sina Weibo, « twitter chinois », service de microblogging : 600 millions d’utilisateurs (mais seulement 212 millions actifs mensuellement) dont 85% d’utilisation sur smartphone. Le phénomène des Key Opinion Leaders (KOL) est très présent sur Weibo. C’est un formidable outil marketing pour promouvoir une destination et un produit touristique. / WeChat messagerie textuelle et vocale // WeChat a dépassé les 700 millions d’utilisateurs actifs mensuels (dont 70 millions hors de Chine) en avril 2016 // 90% des utilisateurs de mobiles utilisent WeChat // 80% des plus hauts revenus utilisent WeChat // 10 millions de marques ou d’organismes ont un compte WeChat // 55,2% des utilisateurs consultent leur compte plus de 10 fois par jour, avec un temps de connexion moyen de 40 minutes/jour // 200 millions d’utilisateurs ont une carte de crédit attachée à leur compte. / Baidu : moteur de recherche chinois, 1er réflexe des touristes chinois / Tuniu : forum très populaire qui permet aux touristes chinois de choisir une agence de voyage, de vérifier sa réputation, la qualité de son offre touristique, ses services… / Qyer : réseau social chinois orienté voyages qui permet aux voyageurs de partager leurs expériences / Renren : équivalent de Facebook / Youku : équivalent de Youtube / Daodao : équivalent de Tripadvisor L’impact de ces médias est amplifié par le développement exponentiel des connections mobiles : / La Chine compte 688 millions d’internautes dont… / … 600 millions sur mobiles, soit 90% des internautes, soit encore 40% de la population. / Une croissance de 30% par an / 75% des smartphones sont sous Android / 90% des utilisateurs de médias sociaux le sont exclusivement via des mobiles Au-delà des réseaux sociaux chinois, d’autres canaux en ligne leurs sont complémentaires tels que les forums touristiques, Wechat Add, les plateformes vidéo, les plateformes Live vidéo et les moteurs de recherche.

Les portraits de femmes de Françoise Huguier, pour la Liberté de la Presse.

Dans tous les kiosques de France en mars 2018, sortie du nouvel album photographique de Reporters sans Frontières pour la liberté de la presse dans le monde. Parmi toutes ces magnifiques images, de Djibouti à la Sibérie en passant par le Vietnam (pays de l’enfance de Françoise Huguier, qui n’y a pas vécu que des moments heureux), des photos de femmes en Russie : Ce sont les portraits de femmes de Françoise Huguier m’ont le plus marquée.

Cette photographe française née en Vendée en 1942 n’a cessé de parcourir le monde avec son appareil photo. Les portraits rassemblés ici sont des photographies prises au cours de dix années de voyages en Russie, spécialement à Moscou, pour faire le portrait de femmes vivant dans des appartements communautaires. Une longue immersion pour capter la confiance de ces femmes photographiées dans leur intimité quotidienne. Les photographies parlent d’elles-mêmes et révèlent à la fois la personnalité et l’environnement des femmes qui sont sont laissées prendre au jeu documentaire de la photographe.

Des images puissantes et respectueuses, des photos de femmes magnifiques et dignes.
Ces images , je les avais découvertes il y a quelques années, en feuilletant un livre. J’étais allée me faire tirer le portrait par un photographe à Lille, que m’avait recommandé une de mes amies. En patientant dans son studio (joliment nommé Studio 1822 photographie, il ya une histoire là-dessous), je feuilletais un des nombreux livres photo que collectionne Luc Camberlein, le photographe en question. Et si son style, avec ses portraits en studio et sa jolie lumière, est éloigné des photos de Françoise Huguier, j’avais apprécié quelque chose d’unique qui y faisait écho : c’était de vrais portraits, de “vraies femmes”, avec un regard humain et bienveillant, et aussi une volonté de mettre en valeur la beauté particulière et unique de chacun(e).

Je vous recommande ce photographe si vous passez dans le Nord de la France : son studio photo, au coeur de la métropole lilloise, est un havre de paix et un écrin où on se sent tout de suite bien. J’avais été enchantée de mes portraits et quand je reviendrai à Lille, je ferai une nouvelle séance ! Je vous invite à découvrir une partie du travail de ce photographe pro à Lille