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Technique pour sensations fortes

J’ai fais une formation aviation pour en savoir un peu plus sur le fonctionnement d’un avion de chasse, et particulièrement vivre un baptême en avion. Cette préparation a été fait pour pouvoir embarquer sur le MiG à la limite de l’espace. J’ai toujours espéré effectuer un baptême unique au monde, donc quand cette opportunité s’est offerte, j’ai naturellement accepté, en dépit du prix. Outre l’expérience qui est fantastique, j’ai bien aimé également en savoir plus sur le fonctionnement de l’avion à réaction, notamment sur les moteurs. Dès grandes vitesses- aux environs des 730 km à l’heure -, l’efficacité des moteurs à pistons traditionnels décroît très vite. Afin d’arriver et dépasser la vélocité du son, on s’est adressé aux turbines à réaction, dont le fondement est celui de la fusée. Ne comprenant plus aucun de pistons ni de bielles en battement alternatif, de tels turbines, ainsi mécaniquement schématisés, permettent d’accentuer beaucoup la poussée que fabrique la violente expulsion des gaz consumés et, partant, la vitesse; les oscillations se trouvent de surcroît chassées. Il en existe divers sortes. Les turbo réacteurs sont agencés d’un compresseur, d’une petite chambre de combustion (où l’air aspiré par le propulseur brûle le pétrole et d’une turbine à gaz. L’hélice continue d’être usitée dans le turbo propulseur, pareil qu’au turboréacteur, mais dans lequel le moteur gère, en plus du compresseur, une hélice propulsive. Dans ce cas, la conséquence donnée par les gaz rejetés ne cause qu’un complément de propulsion à la poussée que donne l’hélice. Le statoréacteur ne contient aucun élément mobile. Le stato réacteur ne détient ainsi pas de compacteur. Avec cette carence, le trafic d’air est proportionnel à la célérité de vol et, le débit, et en conséquence la sortie, sont à zéro d’où la nécessité de fournir en conséquence l’avion de chasse d’un compacteur ajouté pour le take-off et l’atterrissage, ce qui a entrainé à la formule du turbostatoréacteur. Un vol en aéronef est une opportunité unique à dépeindre à vos proches, qui pourront profiter de vos vidéos prises pendant ce baptême de l’air unique au monde. Pour tous ceux que cela intéresse, allez sur baptême en avion de chasse.

En Syrie avec de vieux équipements

Allons donc en Syrie puisque notre morale nous oblige d’y aller. Si seulement il s’agit de la morale et non de l’égo ou de la peur de perdre la face. Car dans la réalité, c’est bien beau de vouloir intervenir à l’autre bout de la terre dans un nid de vipères, mais faut il encore en avoir les moyens. Car comme nous en livre l’information, le site « Avion de Chasse » rappelle que notre armée est dans un état qui n’est pas le meilleur, et que les coupes budgétaires prochaines ne vont rien arranger. L’armée de l’air n’est pas dans une bonne situation. En effet, les avions de transport sont vieux : le transport tactique (C 160 Transall et C 130 Hercules) affiche 54,3 % de disponibilité : « Les capacités sont déjà déficitaires et le resteront jusqu’à un horizon 2030. » L’agenda de l’Airbus A400M a été ralenti, ce qui prolonge la vie de quatorze Transall, « mesure compensatoire absolument indispensable pour maintenir les compétences des équipages et garantir la transition sur A400M ». Le premier A400M de série vient à peine d’être livré à la base d’Orléans, quatre ans après la date prévue. La modernisation de l’aviation de chasse (225 avions prévus par le Livre blanc, dont 185 pour l’armée de l’air et 40 pour la marine) est au ralenti. Le format visé devrait permettre d’assurer les contrats opérationnels, mais, précisent les députés, « sous réserve de la mise en service des premiers Mirage 2000D rénovés dès 2018 et de pouvoir prolonger les Mirage 2000-5 au-delà de 2021 ». Ces objectifs seront difficiles à tenir. La cible des 50 A400M en parc s’éloigne. On compte à peine 13 livraisons jusqu’en 2019. À cet horizon, l’armée de l’air n’aura que 2 ravitailleurs modernes, au lieu des 12 prévus. Pour le Rafale, 26 nouvelles livraisons sont annoncées d’ici à 2019, moins que prévu, pour une cible finale de 180 appareils, avec un effort annoncé sur la modernisation des Mirage 2000-5 et 2000D. Il faut ajouter cela le vieillissement des équipements de la marine, qui ne dispose d’un taux de disponibilité des équipements que de 39%. C’est très peu. Mais s’il faut aller en Syrie et dépenser encore un peu de sous, pourquoi pas ? Source : Avion de Chasse.